3 avril 1593. George Herbert et la Bible

publié le 3 April 2022 à 02h01 par José LONCKE

3 avril 1593. George Herbert et la Bible

3 avril 1593, naissance de George Herbert (1593-1633), un des plus grands poètes religieux anglicans.

George Herbert a été ordonné pasteur dans l'Eglise anglicane le 16 septembre 1630. Ce  fut une étape de paix et de résignation à la volonté de Dieu. Des amis disaient qu'il jetait ses talents aux oubliettes. À un moment de sa vie, il aurait été d’accord avec eux. Bien éduqué, doué en rhétorique, il avait plutôt tenté une carrière politique.

Mais ayant choisi une vie consacrée à Dieu, Herbert ne voulut pas regarder en arrière. Au lieu de cela, il s’est fixé des normes élevées en tant que ministre. Ceux-ci ont été publiés sous le titre A Priest to the Temple, ou The Country Parson, His Character and Rule of Holy Life, un classique de la pastorale. Voici quelques conseils qu’il s’est donné :

« Parce que les gens de la campagne (comme d’ailleurs tous les honnêtes hommes) estiment beaucoup la parole donnée, qui la base des achats, des ventes et du commerce dans le monde ; c'est pourquoi le pasteur est très strict dans la tenue de sa parole, même si ce n'est qu'à son propre gré, sachant que s'il ne l'est pas, il sera rapidement découvert et ignoré ; ils ne le croiront pas non plus en chaire s'ils ne peuvent pas se fier à sa conversation.
Herbert a prêché son premier sermon avec des fioritures rhétoriques. Il n'a plus jamais ensuite parlé de cette façon, mais a utilisé des illustrations simples que les agriculteurs pouvaient comprendre. Bien que calviniste, il ne prêchait pas le déterminisme, mais cherchait à attirer les gens vers le Christ en mettant l'accent sur l'amour de Dieu. Cet amour avait ravi sa propre âme, comme le dit l’un de ses poèmes les plus célèbres : « L’amour m’a accueilli : pourtant mon âme s’est retirée, coupable de poussière et de péché. »

Herbert vivait modestement, prêchait fidèlement, priait sincèrement et donnait généreusement. Il a réparé les bâtiments dont il avait la charge. Son épouse, Jane Danvers, a été décrite comme « jeune, belle et riche », mais humble et désireuse de servir les autres. Cependant, sa richesse était soit bloquée, soit pas aussi grande qu'on le pensait. Les Herbert pouvaient à peine se permettre d’accueillir trois nièces orphelines comme ils l’ont fait.

Sir Isaac Walton a enregistré qu'alors qu'il allait faire de la musique avec des amis, Herbert a vu un pauvre homme dont le cheval était tombé sous une lourde charge. Herbert ôta son manteau de chaire, aida à décharger la bête, à la remettre sur pied et à la recharger. Il donna ensuite à l'homme de l'argent pour se rafraîchir ainsi que son cheval, et lui conseilla que s'il s'aimait, il devrait être plus miséricordieux envers sa bête.

Ses amis furent étonnés de voir à quel point il paraissait sale et débrayé lorsqu'il les rejoignit finalement. Après avoir expliqué ce qui s'était passé, l'un d'eux remarqua qu'il s'était abaissé en s'abaissant à un tel travail. Herbert répondit que ce qu'il avait fait « lui serait une musique de minuit », et ajouta qu'avoir agi autrement aurait troublé sa conscience chaque fois qu'il serait passé devant cet endroit ; "Car si je dois prier pour tous ceux qui sont en détresse, je suis sûr que je suis tenu, dans la mesure où cela est en mon pouvoir, de mettre en pratique ce pour quoi je prie." Il a dit qu'il ne passerait pas volontiers une journée sans réconforter une âme ou sans faire preuve de miséricorde. "Et maintenant, accordons nos instruments."

Trois ans seulement après son ordination, Herbert a succombé à la tuberculose, quelques semaines avant son quarantième anniversaire.

Mais sa renommée grandit considérablement avec la publication posthume du livre : The Temple (1633).

Peu de temps avant sa mort, Herbert avait en effet confié le manuscrit de son recueil de poèmes à Edmond Duncon, avec la demande suivante :


« Monsieur, je vous prie de remettre ce petit livre à mon frère Nicolas Ferrar, en lui disant qu'il doit trouver en lui un reflet des nombreux conflits spirituels qui se sont déroulés entre Dieu et mon âme, avant que je ne me soumette à la volonté de Jésus, mon maître; dans le service duquel j'ai maintenant trouvé une parfaite liberté. Je désire qu’il le lise et puis, s’il pense que quelqu’un de découragé pourrait en tirer profit, qu’il le publie, sinon qu’il le jette au feu; car tout cela est bien inférieur à la moindre des miséricordes de Dieu ».

Dans la troisième strophe du poème « La discipline » Herbert dit à Dieu qu’il veut régler sa vie sur son « livre seul » :

Not a word or look
I affect to own,
But by book,
And thy book alone.


On peut ajouter que les deux poèmes intitulés « Les Saintes Écritures » sont entièrement consacrés à ce thème et que, dans le distique final, Herbert compare les « deux livres » proposés par Dieu à l’homme, la nature et la Bible, et conclut qu’en raison des effets produits respectivement par l’un et par l’autre sur la destinée humaine, il existe entre les deux une différence de taille :

Starres are poor books, & oftentimes do misse:
This book of starres lights to eternall bliss.


Les étoiles sont de pauvres livres, et souvent elles nous font défaut :
Ce livre rempli d’étoiles éclaire notre chemin vers l’éternel bonheur  

 
Tandis que les étoiles du ciel ne constituent que de « pauvres livres », la Parole de Dieu est une constellation qui conduit au bonheur éternel.


Herbert souhaitait écrire « simplement » comme l’attestent les derniers vers du poème « Le Jourdain I ». Il considère que « les bergers sont d’honnêtes gens » et les invite donc à chanter librement. Il n’envie pas « le rossignol ou le printemps », n’exigeant pas la rime pourvu qu’ils puissent dire tout simplement « Mon Dieu, Mon Roi »

Shepherds are honest people; let them sing:
Riddle who list, for me, and pull for Prime:
I envy no man’s nightingale or spring;
Nor let them punish me with losse of rhyme,
Who plainly say, My God, My King.


La prière est pour Herbert la condition d’une relation authentique avec Dieu, et c’est pourquoi la plupart des pièces du recueil prennent cet aspect. On peut, en effet, observer dans "Le Temple" toutes les formes de prière figurant dans la Bible, en particulier deux d’entre elles : l’action de grâces (ou la louange) et l’intercession.

Prière (1)

Prayer the church's banquet, angel's age,
         God's breath in man returning to his birth,
         The soul in paraphrase, heart in pilgrimage,
The Christian plummet sounding heav'n and earth

Engine against th' Almighty, sinner's tow'r,
         Reversed thunder, Christ-side-piercing spear,
         The six-days world transposing in an hour,
A kind of tune, which all things hear and fear;

Softness, and peace, and joy, and love, and bliss,
         Exalted manna, gladness of the best,
         Heaven in ordinary, man well drest,
The milky way, the bird of Paradise,
        
Church-bells beyond the stars heard, the soul's blood,
         The land of spices; something understood.



Ce poème « Prière (1) », au lieu de se présenter sous la forme d’une prière, prend celle-ci pour thème de méditation. Il se compose de trois quatrains et d’un distique. Dans chacune des strophes, l’auteur s’efforce de proposer diverses définitions possibles de la prière, sans qu’aucune ne semble finalement tout à fait satisfaisante, et fait stylistique notable, sans qu’aucun verbe principal ne figure dans le texte, chaque séquence verbale apparaissant plutôt comme une nouvelle apposition ou définition.

La première strophe semble imprégnée d’une joie sereine. On y fait l’éloge de la prière comme procurant un état de bonheur où il ciel et la terre semblent se rejoindre :

    Prière Banquet de l’Église, vie d’Ange hors du temps,
    Souffle de Dieu en l’homme qui renaît,
    L’âme en paraphrase, le cœur en pèlerinage,
    Plomb qui sert au  chrétien pour sonder ciel et terre.

Dans un contexte chrétien le « banquet » peut faire allusion au banquet céleste auquel les élus participeront dans une joie éternelle. Le terme peut aussi, tel qu’il apparaît ici, être appliqué à toutes les formes de prière. La leçon que l’on pourrait tirer serait que la prière constitue un lien entre le temps et l’éternité. Mais aussi que la prière est une occasion de rencontre royale accordée avec largesse et générosité. Cependant les trois vers qui suivent sont moins sereins. Ils décrivent la prière cette fois comme une quête : un homme en prière est avant tout, à mi-chemin entre la terre et le ciel, entre le « déjà » et le « pas encore », ou plutôt s’efforçant de rencontrer Dieu au sein même du monde d’ici-bas.

C’est du moins le message qu’évoquent peut-être les trois images proposées : 
-la « paraphrase » suggère que l’âme en prière se trouve dans une posture lui permettant de se comprendre elle-même ainsi que l’univers. La notion de « parapharase » peut  aussi être comprise au sens d’expansion clarificatrice à partir d’un original. (Expansion de l’âme, soit « sur prière du Saint Esprit » ?).
-si le cœur est « en pèlerinage », c’est qu’il désire ardemment une paix qu’il ne peut trouver qu’en Dieu.
-enfin, l’image, plutôt maritime, cette fois, du fil à plomb ou de la sonde suggère que la prière peut permettre de mesurer toute chose et de discerner la vérité.

La seconde strophe expose le fondement de cela. À l’orgueil de l’homme qui a rompu la communion avec Die, la seule réponse convenable est le propre sacrifice de Dieu lui-même sur la croix :
    Machine défiant le Tout-Puissant, la tour des pécheurs,
    Tonnerre inversé, lance qui perce le flanc du Christ,
    Transposant en une heure un monde en six jours fait,
    Une sorte de musique, que toutes choses entendent et redoutent,

 Et c’est l’assurance de la victoire obtenue par ce sacrifice qui justifie la jubilation qui prévaut dans la troisième strophe et le distique final.

    Douceur et paix, et joie, et amour, et bonheur,
    Manne au ciel remontant, allégresse des justes
    Le Ciel à l’ordinaire et l’homme bien paré
    La Voie Lactée en ce monde, l’oiseau de Paradis,

    Carillon d’une église au-delà des étoiles, sang de l’âme,
    Le pays des épices, quelque chose de compris.

La signification des cinq substantifs du vers 9 ainsi que le rythme et la répétition du connecteur « et (and) » contribuent puissamment à créer cette impression : le monde d’en-haut semble être descendu sur la terre et imprégner la vie quotidienne :
-le ciel est dit être « à l’ordinaire » et l’ « homme bien paré ».
-la musique et les couleurs sont associées pour dépeindre cette joie radieuse qui, pour ainsi dire, abolit la distance entre le ciel et la terre : couleurs et chants de l’ « oiseau de paradis », splendeur de la « Voie Lactée », carillons de cloches venant d’ « au-delà » de cette galaxie. Les frontières entre le monde terrestre et le monde céleste semblent s’être estompées.

Ce déploiement d’images et de notations se fonde sur un très riche arrière-plan biblique. L’action de l’esprit dans la prière fait écho à la célèbre déclaration faite par Jésus à Nicodème (Jean 3. 3) : « En vérité, en vérité, je te le dis, à moins de naître d’en-haut, nul ne peut voir le Royaume de Dieu ».

Cette « nouvelle naissance » doit naturellement être mise en relation avec le processus de régénération décrit dans la seconde strophe. Herbert établit, en effet, un parfait parallèle entre deux séries d’événements fondateurs :
-d’une part, la création et la chute décrites dans les trois premiers chapitres de la Genèse, le péché de l’origine conduisant à l’édification de la « Tour de Babel » (Genèse 11. 1-10), symbole de l’orgueil démesuré de l’homme ;
-d’autre part, la rédemption de l’humanité obtenue par le Christ sur la croix.

La « lance perçant le flanc du Christ » est un autre instrument criminel créé par l’homme, mais qui « en une heure » répare le dommage causé au monde. Ce sont le sang et l’eau jaillissant du côté du Christ en croix (Jean 19. 34) qui rendent possible la nouvelle naissance de l’homme.
-Et c’est le grand cri poussé par le Christ avant qu’il n’expire (Matthieu 28. 46 et suivants) qui, causant l’effroi chez tout être et en toute chose, est en même temps la nouvelle musique qui permet le retour à la douceur, à la paix, à la joie, à l’amour et au bonheur.

En résumé, la prière chrétienne n’est possible que grâce au sacrifice de notre médiateur, Jésus-Christ et par la régénération apportée par le Saint-Esprit. Un pardon sans cesse accordé et l’Esprit sans cesse renouvelé.


Dans la troisième strophe et dans le distique, l’évocation de cette atmosphère nouvelle s’appuie sur deux références bibliques majeures.
-La « manne au ciel remontant » fait écho à manne biblique décrite dans le livre de l’Exode (Exode 16. 14-16) qui tombait du ciel, la prière au contraire s’y élève.
-l’oiseau du Paradis » évoque la légende selon laquelle faute de pattes, celui-ci ne touchait jamais le sol.
-le « pays des épices » constitue un écho au moins indirect à celles qui abondent dans le « jardin bien clos » où se tient l’épouse du Cantique des Cantiques et auquel elle est aussi identifiée (Cantique 4. 12-14), la bien-aimée figurant dans une interprétation chrétienne aussi bien l’Église elle-même que l’âme du croyant qui cherche la rencontre avec le Christ.

Le message spirituel qui ressort de la lecture de « Prière (1) » est « sobrement jubilatoire », car le dernier demi-vers atténue quelque peu l’impression de jubilation qui prévalait depuis le début de la troisième strophe. En effet, Herbert conclut sobrement que dans la prière « quelque chose » est « compris », c’est-à-dire, mène à l’entendement véritable.

Certains poèmes, tel « Le collier » se concluant parfois, après un moment de révolte qu’a provoqué la difficulté du cheminement du chrétien, par un dialogue direct, dont les termes sont mis en italiques, entre le Créateur et sa créature :


But as I rav’d and grew more fierce and wilde,
At every word,
Me thoughts I heard one calling, Childe:
And I reply’d, My Lord.


Mais tandis que je délirais et devenais toujours plus farouche et dément,
À chaque parole,
Il me sembla entendre quelqu’un m’appeler en disant, Enfant :
Et je répondis, Mon Seigneur

C’est dans ce recueil qu’on trouve également un des cantiques les plus populaires de Herbert, une version du psaume 23 :

THe God of love my shepherd is,
             And he that doth me feed:
While he is mine, and I am his,
             What can I want or need?

He leads me to the tender grass,
             Where I both feed and rest;
Then to the streams that gently passe:
             In both I have the best.

Or if I stray, he doth convert
             And bring my mind in frame:
And all this not for my desert (1),
             But for his holy name.

Yea, in deaths shadie black abode
             Well may I walk, not fear:
For thou art with me; and thy rod
             To guide, thy staff to bear.

Nay, thou dost make me sit and dine,
             Ev’n in my enemies sight:
My head with oyl, my cup with wine
             Runnes over day and night.

Surely thy sweet and wondrous love
             Shall measure all my dayes;
And as it never shall remove,
             So neither shall my praise.

Et aussi ce cantique dans lequel George Herbert exhorte à voir  en l’autre, Jésus-Christ son Seigneur et son Juge et à se comporter envers l’autre comme on le ferait envers le Christ :

Apprends-moi, mon Dieu et mon Roi
A te voir, toi, en toutes choses,
A faire tout ce que je fais
Comme si pour toi je le faisais.

Celui qui regarde du verre
Peut certes arrêter là ses yeux,
Ou, s’il le veut, voir au-delà
Et alors contempler les cieux.

Tout peut participer de toi,
Rien n’est si laid qu’il ne puisse,
S’il est teint des mots « pour toi »,
Devenir clair, resplendissant.

Avec ces mots un serviteur
Rendra toute corvée divine ;
Balayer une chambre, si c’est pour t’obéir
Peut alors devenir sujet de se réjouir.

Nous l’avons, la pierre fameuse
Qui transforme tout en or
Car c’est bien cela que devient
Tout ce qui à Dieu appartient.

Et aussi ce cantique "Ô terre entière" (Let all the world):

Ô terre entière, bénis ton Créateur,
Ton seul Seigneur !
Sainte est ta majesté,
Roi de fidélité.
Gloire au tout-puissant qui sauve ses enfants.
Enfants de Dieu, poussez des cris de joie
Alléluia !

Ô terre entière, exalte ton Sauveur :
Ton Rédempteur.
Entonne un chant joyeux
Qui montre jusqu’aux cieux.
Proclame sa grandeur ; du mal, il est vainqueur.
Enfants de Dieu, poussez des cris de joie
Alléluia !

Ô terre entière, adore ton grand Roi :
Chef de la foi.
Acclame son saint nom
Qui donne le pardon,
Et son immense amour, présent de jour en jour.
Enfants de Dieu, poussez des cris de joie
Alléluia !

Sans oublier, "Dieu de gloire, roi de paix" (King of glory,  King of peace)  :

Dieu de gloire, roi de paix, nous te servons.
Fais aimer ta volonté, nous te prions.
Nos désirs sont accordés, selon tes projets.
Nos péchés sont pardonnés par ta bonté.

Ainsi par tous nos talents nous te louons.
Et le meilleur de nos dons nous t’offrirons
Même si nos torts nous séparent, tu as pris leur poids.
Par la croix tu nous déclares justes par la Foi.

Tous les jours sans exception nous te chantons.
Par nos dires et nos actions nous t’exaltons
Malgré nos difficultés nous te suivrons
Trop brève est l’éternité, nous t »adorons.

 

et "Amour":

Amour m'a dit d'entrer, mon âme a reculé
Pleine de poussière et de péché.
Mais Amour aux yeux vifs, en me voyant faiblir
De plus en plus, le seuil passé,
Se rapprocha de moi et doucement s'enquit
Si quelque chose me manquait.

"Un hôte", répondis-je, "digne d'être ici".
"Or", dit Amour, "ce sera toi".
" Moi, le sans-coeur, le très ingrat ? Oh, mon aimé,
Je ne puis pas te regarder."
Amour en souriant prit ma main et me dit :
" Qui donc fit les yeux, sinon moi?"

"Oui, mais j'ai souillé les miens, Seigneur.
Que ma honte s'en aille ou elle a mérité."
"Ne sais-tu pas", dit Amour, "qui a porté la faute?"
"Lors, mon aimé, je veux servir."
"Assieds-toi", dit Amour, "goûte ma nourriture."
Ainsi j'ai pris place et mangé.

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Source :

-Jean-Louis Breteau, De l’usage de l’intertexte biblique dans quelques poèmes de George Herbert et de John Donne, Lisa, Vol. VII, n°3, 2009.

-John Stott, Fixant les yeux sur Christ, p 14.

-Stuart Ludbrook, ouvrage en préparation.

 -Note 1 : dessert :  what one deserves.

-"Amour" : George Herbert (trad. Jean Mambrino) Tiré d'Etudes, février 1974 « Le plus beau poème du monde », disait Simone Weil. On comprend que ce poème, peut-être le dernier que George Herbert a écrit, l'ait bouleversée, au point qu'elle l'apprit par coeur...

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