L'homoparentalité : d'une réalité minoritaire à un droit à l'enfant

Complet Psychologie et vie chrétienne

La loi française permet maintenant aux couples de même sexe d'adopter des enfants. Dans ce chapitre, l'auteur présente les enjeux pour la société et pour l'Église.

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L'homoparentalité : d'une réalité minoritaire à un droit à l'enfant

DÉFINITION

Le mot "homoparentalité" est un néologisme créé en 1997 par l'Association des Parents Gays et Lesbiens. Il a fait son entrée dans le Grand Robert en décembre 2001. Le philosophe et théologien catholique, Xavier Lacroix, remarque qu'en remplaçant le mot "parent" par le mot "parentalité", on vient occulter l'absence d'un père ou d'une mère :

C'est ainsi que nous assistons, depuis quelques années, à une véritable campagne de promotion du curieux terme d'"homoparentalité", qui surprend tous ceux pour lesquels, jusqu'à présent, celui de "parents" désignait deux personnes de sexes différents. Il n'a pu apparaître que par la distinction entre la "parentalité" et la "parenté", le premier terme désignant l'exercice de fonctions, le second restant lié à l'engendrement. Cette promotion a généralement lieu dans un contexte militant, en faveur du droit à l'adoption ou de l'accès aux procréations médicalement assistées(1).

Le mot recouvre un état de fait qui comporte des situations très différentes : des homosexuels qui ont la charge d'enfants après un divorce, d'autres qui ont adopté un enfant en cachant leur homosexualité, d'autres encore qui ont eu recours à une insémination artificielle...

Une enquête de l'INSEE(2) estime à 100.000, les couples(3) de même sexe en France. Les couples où il y a un enfant sont majoritairement des couples de femmes (huit couples sur dix environ). L'INED estime de 24.000 à 40.000 le nombre d'enfants élevés dans un contexte homosexuels(4).

D'UNE RÉALITÉ MINORITAIRE À UN DROIT À L'ENFANT

Comment est-on passé d'une réalité de fait si minoritaire à un droit à l'enfant pour les couples homosexuels, puisque la loi Taubira du 23 avril 2013 leur ouvre un droit à l'adoption et à la filiation ? Outre le lobby gay, c'est la médiatisation d'expériences de vie de couples homosexuels avec des enfants qui a fait évoluer l'opinion. Deux étudiantes suisses en sciences sociales ont ainsi décidé de réaliser une enquête sur ce sujet suite à une émission de télévision sur une famille homosexuelle. L'une de ces étudiantes disait, qu'étant jeune, elle considérait ce désir d'enfant de la part des homosexuels comme "purement égoïste" mais qu'ayant découvert au travers de documentaires la difficulté et la longueur du parcours de ces homosexuels pour avoir un enfant, elle a conclu qu'il est "évident que toutes les questions autour du futur de l'enfant, de son bien-être se posent aux futurs parents(5)". Comme si la difficulté créait un mérite et la réflexion préalable donnait un droit à l'enfant.

Il est intéressant de constater que la réprobation initiale s'est changée en approbation au contact de ces couples homosexuels. On pourrait dire que ce sont simplement des préjugés qui tombent au contact des personnes réelles, mais ce qui interroge, c'est le poids donné au témoignage de quelques personnes. Comme si on ne pouvait avoir à la fois de la considération pour ces personnes et considérer que leur expérience n'avait pas valeur de norme et était même contraire à l'intérêt général, en l'occurrence l'intérêt de l'enfant. Mais l'intérêt général de l'enfant est abstrait tant qu'il n'a pas de voix, alors donnons-leur la voix :

"JE VEUX UN PAPA EN PLUS !"

Face aux affirmations des couples homosexuels qui prétendent être "des parents comme les autres", ce que la psychologue Pascale Lemare appelle "le déni insistant de la particularité de l'homoparentalité", celle-ci cite comme un rappel à la réalité la réaction d'un enfant dans un couple de lesbiennes : "Moi je n'ai pas de papa. J'en voudrais un, je vous veux bien toutes les deux, mais je veux un papa en plus". Et la compagne de sa mère de répondre : "Tu as deux parents qui t'aiment très fort, à l'école tu as plein de copains, tu as une maison, tu as un chat, tu n'es pas malheureux... "(6)

Pascale Lemare explique :

Pour la psychanalyse... l'enfant a besoin qu'on lui fournisse des modèles identificatoires, le petit garçon a besoin de se valoriser dans une relation avec une image d'homme qui le virilise, et la petite fille avec une image qui incarne la féminité. Prenant le cas paradoxal d'un garçon dans un couple de lesbiennes ou d'une fille dans un couple d'homosexuels, elle signale qu'on l'expose à des difficultés psychologiques. L'enfant... doit soutenir par sa présence même... qu'il est issu de ce couple, ce qui n'est pas possible. Il est donc mis en situation de soutenir que l'impossible est possible(7).

La question n'est pas celle de la capacité éducative des couples homosexuels mais du besoin de l'enfant, pour grandir, de s'appuyer sur un père et une mère et de se situer comme issu d'un père et d'une mère. C'est pourquoi, dire qu'il vaut mieux pour un enfant être adopté par un couple homosexuel que de rester orphelin est à courte vue : c'est imposer une filiation impossible à un enfant qui a déjà vécu une rupture de filiation.

ÇA VA PAS LA TÊTE ?

Suite à l'explication de sa mère qui lui annonce qu'elle va vivre avec une femme, sa fille réagit : "ça va pas la tête ?" Monique de Hadjelatché relève cependant :

Les enfants n'approuvent pas forcément, mais aucun des enfants ne semble avoir rejeté durablement son parent à cause de son choix de vie. Le moment le plus critique est celui de l'adolescence. D'une part, l'enfant est lui-même dans sa quête identitaire, d'autre part le regard social est beaucoup plus important à cet âge : plusieurs ont cessé d'amener des copains à la maison par peur des questions ou réflexions, alors que, plus jeunes, ils les invitaient volontiers(8).

Mais contrairement aux généralisations sur les familles homoparentales, elle distingue bien entre le cas d'enfants issus d'un couple hétérosexuel qui se retrouvent dans un couple homosexuel et le cas de couples homosexuels qui projettent de devenir parents, où l’enfant devient un enjeu.

POURTANT CERTAINS DISENT « NO DIFFERENCE » !


Le psychiatre Stéphane Nadaud a soutenu(9), en s’appuyant sur des études américaines, que le développement psychologique des enfants élevés par des parents de même sexe est normal. Ces études concluaient unilatéralement : « no difference », c’est la même chose que d’être dans une famille hétérosexuelle. Mais ces études reposent sur un échantillon trop faible, ce sont des militants gays qui ont été interrogés, et ce sont uniquement les adultes qui ont répondu à ces questionnaires, les enfants n’ont pas été interrogés(10)!

Nous attendions davantage du livre du psychanalyste Serge Hefez, Le nouvel ordre sexuel, car il a suivi plusieurs familles homoparentales ; or il s’est avéré être un plaidoyer à sens unique en faveur de l’homoparentalité sans vrai appui clinique. Certes, il critique à juste raison un de ses confrères, Jean-Pierre Winter, qui prédisait le pire à Louis, un enfant élevé par un couple de femmes, « la folie, la stérilité et la mort ». Or Serge Hefez qui avait suivi cette famille et cet enfant l’a revu dix ans plus tard : Louis avait 25 ans, il avait une compagne enceinte, il allait se marier et était bien dans sa peau ! Si Serge Hefez précise quand même : « Ceci ne prouve rien quant au bien-fondé de l’homoparentalité »(11), il n’en affirme pas moins : « Les enfants que j’ai pu accueillir ne me sont à aucun moment apparus en danger et les difficultés le plus souvent exprimées sont celles d’affronter le regard des autres et l’hostilité où l’incompréhension de leur environnement social »(12) .
Le problème serait donc purement social, le regard négatif porté par notre société sur l’homosexualité, mais pas psychologique. Or Serge Hefez ne présente aucune étude de cas précise de ces enfants pour étayer ses dires. Il ne nous fait pas entendre la voix de Louis. On se demande, par exemple, à propose de Louis : quel était son histoire familiale ? Était-il issu d’un couple hétérosexuel qui avait divorcé, ou issu d’un donneur anonyme ? Avait-il gardé des contacts avec son père ? Et sa mère, comment en était-elle venue à l’homosexualité ? Car il y a plusieurs types d’homosexualité. Faute d’éléments précis on ne peut faire de son cas une généralité.
Le pédopsychiatre Maurice Berger, lui, raconte un cas précis problématique :


SŒUR MAGICIENNE FABRIQUE LES ENFANTS


Une des grandes questions de l’enfant, c’est son origine et le lien avec le désir de ses parents. Le pédopsychiatre Maurice Berger raconte le cas suivant : « Ainsi, une fillette excitée en permanence et élevée par un couple d’homosexuelles dessine en psychothérapie une reine entourée de huit enfants "qui ont été faits par la sœur de la reine, magicienne qui a concocté une potion". La reine n’a ainsi pas eu besoin d’hommes pour concevoir des enfants ». Berger affirme que :

… c’est une mystification d’affirmer que l’explication donnée à l’enfant sur les processus techniques à l’origine de sa conception va suffire à gommer magiquement les questions qu’il se pose sur l’impossibilité structurelle de sa conception par le couple. Mais ce questionnement, il ne le montre qu’en psychothérapie et pas au couple homoparental, présentant ainsi un « syndrome de l’enfant parfait »(13).

Une enquête menée auprès de femmes homosexuelles ayant eu recours à l’insémination artificielle avec donneur dans un centre de médecine reproductive montre que 70% d’entre elles estiment que cela ne crée pas de difficulté qu’il n’y ait pas de père(14)!
Il y a, dans l’homosexualité, un refus de l’autre sexe qui aboutit au refus de l’autre parent ce que sent très bien l’enfant et que cette fillette a formulé dans ses mots avec son histoire de « sœur magicienne ».

OÙ SONT LES PÈRES ?

On l’aura noté, d’après l’enquête de l’INSEE, les couples homosexuels avec enfant sont dans 8 cas sur 10 des couples de femmes. Ce qui soulève la question : où est le père ? Quant l’enfant est issu d’un précédent mariage, il peut se situer, mais quand l’enfant est issu d’une procréation artificielle avec donneur de sperme anonyme ? Il ne suffit pas d’introduire un homme dans un environnement féminin pour introduire un père comme le dit très justement le psychanalyste Philippe Jullien :

Le père réel pour l’enfant est l’homme d’une femme. Il ne s’agit pas d’abord du rapport vertical d’un homme avec un enfant. L’enfant a un père réel dans la mesure où cet homme est celui qui a fait d’une femme, que j’appelle maman, la cause de son désir et l’objet de sa jouissance. La seule garantie réelle de la fonction paternelle, c’est un homme tourné vers une femme(15).

Le père absent de certaines familles, n’est pas l’absence de père du couple d’homosexuelles. Comme pasteur, parfois appelé à la rescousse comme un palliatif de père, nous voyons déjà trop de dégâts chez certains adolescents élevés par une femme seule, pour ne pas nous inquiéter.

ENJEUX DE SOCIÉTÉ

Une société sans pères est une société sans repères. Certes le modèle et la réalité restent celui du couple homme/femme avec enfants : 72% des hommes et des femmes en couple sont mariés. Mais qu’en sera-t-il dans les générations suivantes qui se marient beaucoup moins ? Qu’en sera-t-il quand les grands-parents ne seront plus, ou quand les grands-parents divorcent ? Dans un contexte général de fragilisation des liens familiaux, et même si le nombre concerné est faible, il nous semble grave d’encourager socialement et même de présenter comme un modèle l’homoparentalité.

Les homosexuels ont obtenu une reconnaissance sociale et certains droits. Mais à partir du moment où l’adoption introduit un droit à l’enfant, la prochaine étape est l’accès à la procréation médicalement assistée (PMA) pour les couples homosexuels, même si le gouvernement français, échaudé par la vigueur de l’opposition au « Mariage pour tous », recule l’échéance. Beaucoup de ceux qui acceptent la PMA pour les homosexuels sont néanmoins opposés à la légalisation des mères porteuses, hypocritement rebaptisée gestation pour autrui (GPA)(16). Pourtant la question se pose déjà avec les enfants issus de mères porteuses à l’étranger. La sociologue Irène Théry est favorable à ce qu’elle appelle une « GPA éthique » pour les couples homosexuels ! Une GPA éthique est impossible, réplique la juriste Muriel Fabre-Magnan, car en cas de problème, la GPA crée des conflits insolubles : par exemple si la mère porteuse se rétracte et ne veut plus donner l’enfant, ou si l’enfant est handicapé et que personne n’en veut(17). Le président de la République a écarté la légalisation sur les mères porteuses mais la question pourrait revenir par le biais du Parlement européen. En effet, celui-ci a commandé un rapport sur les différentes législations ou jurisprudences sur la GPA en Europe, qui pourrait éventuellement déboucher sur une possibilité de légiférer au niveau européen(18).

Sommes-nous prêts à entériner socialement ce détournement de la PMA, une technique coûteuse, pour la convenance de quelques-uns au détriment de l’intérêt de l’enfant ?(19). Voulons-nous vraiment protéger les femmes pauvres de l’exploitation de leur corps ? Tels sont les enjeux sociaux.

ENJEUX POUR L’ÉGLISE

L’enjeu éthique pour l’Église est de ne pas cautionner, sous couvert d’amour chrétien, une forme de mensonge. C’est dans ce piège que tombent les Églises inclusives qui bénissent les couples homosexuels en faisant « comme si ». « Comme si » deux femmes et deux hommes étaient père et mère, parce qu’ils font « fonction de ». « Si vous êtes fidèles à mes commandements, vous demeurerez dans mon amour » dit Jésus. Or, Jésus a ordonné la fidélité dans le mariage entre un homme et une femme.

Il faut reconnaître que la légalisation de l’union homosexuelle comme mariage ouvrant droit à la filiation pose davantage problème aux Églises protestantes qui s’appuient sur le mariage civil qu’à l’Église catholique qui a sa propre définition du mariage et de sa validité comme sacrement. Mais si l’État change la définition du mariage, l’Église n’est pas obligée de le suivre! L’Église n’est pas le bras droit de l’État ! L’Église doit non seulement accepter d’être minoritaire, différente du monde, mais savoir que c’est sa mission d’être différente. Vouloir « Être dans le vent est une ambition de feuille morte », disait Gustave Thibon ! Jésus avertit l’Église : « Si le sel perd sa saveur, il n’est plus bon qu’à être foulé au pied... »

La réception de l’Évangile implique un changement de vie, mais il est plus facile d’appeler à un changement de vie une personne qu’une famille entière. Que dire dans le cas d’un couple de femmes homosexuelles qui élèvent un enfant et qui s’ouvre à l’Évangile ? Quelle pastorale lui proposer ? On peut encourager un mari adultère à rompre cette relation adultère et à regagner le domicile conjugal, s’il est encore temps. On peut inviter un homosexuel à rompre avec la pratique de l’homosexualité, mais quand il y a un couple homosexuel stable avec un enfant au milieu ? Entre le silence et l’exclusion, entre le « faire comme si » c’était pareil et l’accueil des personnes, il nous faut trouver un chemin étroit… c’est ce qu’essaie de tracer la déclaration de la commission d’éthique protestante évangélique Aimer mon prochain homosexuel. Comme l’affirme cette déclaration, il faut distinguer entre « accueil » et « approbation ». Elle recommande donc de rester « ouvert au dialogue » avec des personnes homosexuelles qui frappent à la porte de l’Église en demande d’actes pastoraux, car elles peuvent parfois avoir une « réelle recherche spirituelle » mais « il ne s’agit pas de donner suite à la demande de bénédiction ». En effet l’Église ne peut bénir une situation contraire à la loi de Dieu : « Si quelqu’un détourne l’oreille pour ne pas écouter la loi, sa prière même est un acte horrible » (Proverbes 28.9).

Les Églises évangéliques accueillent déjà des familles monoparentales et, en général, avec bienveillance, me semble-t-il. L’Église, si elle vit vraiment comme une communauté où l’on trouve des pères, des mères, des frères en Christ, peut être un lieu de réparation pour des enfants en manque de modèles paternels ou maternels, mais le problème pour l’Église c’est d’accueillir l’enfant élevé par un couple homosexuel sans justifier ce couple. 

Dans la fiche pastorale des Églises Évangéliques Libres sur la présentation d’enfants, il y a un conseil qui nous paraît utile : « On évitera que les décisions prises en matière de présentation d’enfants ne démentent les convictions et l’éthique recherchée en matière d’éthique conjugale ».

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1.
Xavier Lacroix, La confusion des genres, réponses à certaines demandes homosexuelles sur le mariage et l'adoption, Bayard, 2007 p.21-22.
2.
INSEE, Le couple dans tous ses états, février 2013.
3.
Certains ont contesté l'utilisation du mot "couple" pour des homosexuels, nous n'entrerons pas dans ce débat, nous gardons le mot par convention sans souscrire à une anthropologie qui nie la différence des sexes.
4.
Cf. Gaëlle Dupont, L'Insee recense 100 000 couples homosexuels, Le Monde, 14 février 2013.
5.
Peggy Delaborde et Candice Lavenchy, Du couple homosexuel à l'homoparentalité, NETS, Genève, 2008, p.5.
6.
Pascale Lemare, Homoparents : où est la différence ? Le généraliste n°2063 du mardi 24 octobre 2000, p.12.
7.
Idem.
8.
Monique de Hadjelatché, La question de l'homoparentalité, état des lieux, Revue Réformée n°220 (5 novembre 2002), Tome LIII. article consulté le 30 mai 2013 sur : htlp://larevuerefor-mee.net/articlerrin220/1a-question-de-lhomoparentalite.
9.
Stéphane Nadaud, Homoparentalité, une nouvelle chance pour la famille, Fayard, 2002.
10.
Voir la critique de Xavier Lacroix, La confusion des genres, réponses à certaines demandes homosexuelles sur le mariage et l'adoption, p.22-27.
11.
Serge Hefez, Le nouvel ordre sexuel, pourquoi devient-on fille ou garçon ?, Kero, 2012, p.65.
12.
Hefez p.66.Hefez p.66.
13.
Maurice Berger, L'homoparentalité est-elle porteuse d'un risque affectif ?, Le Monde, 7 février 2013.
14.
Peggy Delaborde et Candice Lavenchy, ibid., p.89.
15.
Philippe Jullien, Le manteau de Noé, DDB, 1991, p. 43.
16.
Sur le sujet des mères porteuses, nous renvoyons à notre article : Luc Olekhnovitch, Qui est ma mère ? Faut-il légaliser les mères porteuses ? Théologie Évangélique, 2009, vol. 8, 1&2. Disponible en téléchargement sur www.flte.fr
17.
Muriel Fabre-Magnan, Une GPA éthique est impossible, Le Figaro Magazine, 10 mai 2013.Muriel Fabre-Magnan, Une GPA éthique est impossible, Le Figaro Magazine, 10 mai 2013.
18.
Stéphane Kovacs, Le parlement européen réfléchit à une législation commune sur la GPA, Le Figaro, 4 juin 2013.
19.
Cf. Éléments de réflexion proposés par la Commission Église et Société de la Fédération Protestante de France pour les États généraux de la bioéthique 2009 du 14 mai 2009.

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